Formaca annonce la nomination de Raymond Gouin, un administrateur expérimenté et stratégiquement qualifié, à la présidence de son conseil d’administration. Son prédécesseur, André Dufresne, lui passe le flambeau après une décennie à la tête du conseil d’administration (CA) de l’entreprise. Propulsée par l’implication de ses bénévoles, Formaca souhaite profiter du Mois de l’économie sociale pour mettre en lumière ces gens qui s’engagent bénévolement pour concrétiser des succès économiques, mais surtout humains.
Un nouveau président visionnaire et expérimenté
Administrateur au CA de Formaca depuis 18 mois et nouvellement désigné comme président, Raymond Gouin n’en est pas à sa première implication sociale. Puisqu’il a dirigé le Conseil québécois des entreprises adaptées (CQEA) pendant 7 ans, l’intégration socioprofessionnelle des personnes vivant avec une limitation – l’enjeu au cœur de la mission de Formaca – lui est chère.
Sur le plan stratégique, le nouveau président est outillé pour soutenir Formaca dans les défis qui l’attendent.
« Formaca a su prendre un virage entrepreneurial déterminant dans les dernières années, qui fait d’elle un modèle au sein du réseau des entreprises adaptées. Néanmoins, elle devra faire face, elle aussi, aux aléas économiques et à la rareté de main-d’œuvre. […] En ce sens, je crois que mes compétences et mes expériences passées pourront lui être utiles, tout en servant la cause qu’elle soutient », ajoute-t-il.
Des administratrices et administrateurs animés par la cause
À l’échelle du Québec, ce sont 90 700 administrateurs et administratrices qui gèrent les 11 200 entreprises d’économie sociale de la province. Sept d’entre eux forment le conseil d’administration de Formaca : Raymond Gouin, Jean-François Boucher, François Couillard, François St-Laurent, Juan Mercier Bélanger, Mélissa Barrette et André Dufresne. Chefs d’entreprise, fonctionnaires d’expérience ou professionnels dynamiques, ceux-ci ont des spécialités complémentaires et partagent le point commun d’une carrière bien remplie. Malgré cela, ils choisissent de mettre leur énergie et leur expertise au service d’une entreprise d’économie sociale comme Formaca, contribuant ainsi à faire une différence dans la vie des gens touchés par sa mission.
Des impacts concrets sur plusieurs plans
Moins productives, les entreprises d’économie sociale? Avec sa croissance soutenue, son vaste plancher de production et son équipe visionnaire, Formaca dément ce mythe qui colle encore trop à la peau des entreprises à vocation sociale. Au Québec, celles-ci générèrent à elles seules 47,8 milliards de dollars annuellement, et 15,2 G$ d’entre eux sont générés ici, dans Chaudière-Appalaches.
Mais l’impact va bien au-delà des résultats économiques. Formaca, qui œuvre auprès de personnes vivant avec une limitation (par exemple : rémission d’un cancer, condition de santé mentale, handicap physique ou intellectuel, etc.), est à même de constater à quel point ses activités font une différence à l’échelle individuelle et collective. En accédant au marché du travail, ces personnes arrivent à participer à la société dans son ensemble.
Cette vision d’équilibre entre la croissance économique et le mieux-être de ses membres, Formaca la partage avec les autres entreprises d’économie sociale. Et c’est probablement ce qui pousse autant de gens, comme ces administrateurs et administratrices, à s’engager vers leur succès.